Page:Gourmont - Lettres à Sixtine, 1921.djvu/28

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QU’IMPORTE, s’ils sont vains, puisque j’y bois ton
âme.


Quel parfum mets-tu sur ta bouche ?


Si dans un tel baiser tu ne fus pas à moi,
Si quelque volonté te retenait encore,
Si, madone de chair, tu veux que l’on t’adore
           Et qu’on souffre de toi


Si l’heure différée était l’heure impossible,
L’heure chimérique et qui ne sonnera pas