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quelle pieuse douleur a allumé cette lampe funéraire… Ce doit être bien triste…
— Bien triste et bien bouffon à la fois…
— Bouffon ? Comment cela ?
— Bouffon à cause de la personne scellée dans cette tombe somptueuse et à cause de la personne qui l’a élevée.
— C’est sans doute une femme qui a pris le soin de la faire construire et de l’éclairer de cette lampe constamment entretenue ?
— Vous avez deviné.
— Une femme qui pleure son amant, n’est-ce pas ?
— Vous avez encore deviné.
— Mais en quoi alors, chevalier, cela peut-il être bouffon ?
— Vous le saurez comme moi, si vous voulez permettre que je continue mon premier récit. L’histoire que je racontais et celle que vous désirez savoir en ce moment se confon-