Page:Gozlan - Les Nuits du Père Lachaise, tome 1, A. Lemerle, 1845.djvu/198

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reurs, ses féeries, dans des sphères idéales, quand elle pourrait si facilement…

Mais ils étaient revenus à l’endroit qu’ils occupaient avant d’avoir été dérangés par l’incident du cocher de la malheureuse comtesse, l’avide Laubépin.

— Si nous reprenions notre récit ; qu’en pensez-vous, monsieur le marquis ?

— Chevalier, vous m’avez promis un éclaircissement sur le major de Morghen, auquel je prétends avoir loyalement gagné au jeu cent mille francs, et je souhaite que vous ne me le fassiez pas attendre. Mon honneur y est au moins aussi intéressé que ma curiosité.

Pour toute réponse, le chevalier De Profundis se leva et indiqua du doigt un endroit assez distant de celui où il se trouvait depuis le milieu de la nuit avec son compagnon, le marquis de Saint-Luc.