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Page:Gozlan - Les Nuits du Père Lachaise, tome 2, A. Lemerle, 1845.djvu/157

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— Non, mon intelligence n’est pas assez forte pour goûter un pareil exercice au-delà de quelques heures et de loin en loin.

— Sans doute ; mais alors, sir Caskil, que faites-vous ?

— De l’exercice ; demandez au docteur Patrick.

— En effet, on m’a dit au château que sir Caskil s’amusait à tailler les arbres.

— Mais oui ; je bêche un peu aussi, je jardine… à la campagne et avec mes goûts !…

Lady Glenmour souriait à tant de simplicité, tout en regardant Paquerette qui lui montrait une jolie branche de fleurs artificielles.

— Mylady, je prends soin de votre propriété.

— On a même vu sir Caskil à la laiterie, dit à son tour Paquerette.