Page:Gozlan - Les Nuits du Père Lachaise, tome 2, A. Lemerle, 1845.djvu/334

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elle est infinie, ajouta le marquis de Saint-Luc, mais sur le chemin de la séduction où elle est entraînée par le comte de Madoc, je vois, immense obstacle, si je ne me trompe, le jeune Tancrède, tout amour, dévoûment et poésie, enfant rendu plus intéressant encore par un accident funeste et causé par celle-là même qui est aimée, adorée ; enfin par lady Glenmour.

— Tancrède, j’en conviens, répliqua le chevalier De Profundis, est un rival redoutable pour le comte de Madoc, mais… mais retournons à Tancrède.



fin du deuxième volume.