Page:Gozlan - Les Nuits du Père Lachaise, tome 3, A. Lemerle, 1845.djvu/113

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La loge des Italiens.


« Mais la précaution, » continua enfin Paquerette en lisant la lettre de lord Glenmour, « me semble bien fausse, car comment, au premier abord, ne pas reconnaître le comte de Madoc ? Pareille surveillance alors est à la fois odieuse et ridicule. D’ailleurs, ce n’est pas le pistolet au poing, le poignard aux dents, que le comte de Madoc s’intro-