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noués à vos beaux cheveux pour les nouer aux cheveux de la morte…
— Dans quel but ?
— Silence !
— Pourquoi ?… mais pourquoi ?…
— Silence, mylady ?
— Vous m’effrayez… mais, mylord daignez me dire…
— Levez-vous maintenant, passez un peignoir et aidez-moi à habiller Paquerette avec ces habits de soirée que vous venez de quitter…
— Une pareille bizarrerie exige au moins une explication… jouer ainsi avec la mort !…
— Voulez-vous que je vous aide à vous lever ?
Forcée d’obéir, lady Glenmour, descendit d’un pied effaré de son lit et commença avec des répugnances pleines d’effroi, des frémissements nerveux, des scrupules, pieux jus-