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Page:Gozlan - Les martyrs inconnus, 1866.djvu/89

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— Nous partons pour Longchamps ; c’est l’heure : venez-vous ?

— Je vous suis.

— En voiture ! cria Adrianoff.

Chabert, indiquant le chemin à Valentine pour qu’elle précédât tout le monde,

— Madame…

Tous se rangèrent pour laisser passer Valentine.

Dans ce moment, elle se pencha à l’oreille de Georges :

— J’ai deux mots à vous dire.

— Messieurs, à vous dans l’instant.

Et les amis de Blancastel sortirent pour aller attendre dans la cour.

Valentine dit rapidement au marquis :

— Avant de nous rendre à Longchamps, il est indispensable que nous passions chez M. Durosoy.

— Encore M. Durosoy ! encore !

— Oui.