Page:Grégoire - De la littérature des nègres.djvu/288

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une ame de fer le barbare qui ravit à un père son enfant chéri. Victime d’une telle férocité, pourrois-je ne pas supplier le ciel de soustraire tous les êtres aux caprices des tyrans, etc., etc.

    Steel’d was that soul, and by no misery mov’d,
    That from a father seiz’d his babe belov’d :
    Such, such my case. And can I then but pray
    Others may never feel tyrannic sway ? etc., etc.