filets arrive presque au milieu des coins. Sa lutherie est fort belle et hautement appréciée :
Rogeri (Pietro-Giacomo). — Brescia, xviiie siècle. Fils du précédent. Belle lutherie, rappelant celle de son père :
Petrus Jacobus Rogeri
Fecit Brixiæ 1721.
On confond assez souvent les œuvres des deux maîtres précédents avec celles des Ruggeri de Crémone, qui, paraît-il, ne sont pas de la même famille[1].
Romani (Julius-Cesar). — Rome, xviiie siècle.
Romanini (Antonio). — Crémone, 1740 :
Romano (Pietro). — Pavie, xviiie siècle.
Rosiero (Rocco). — Crémone, vers 1730.
Rota (Giovanni). — Crémone, 1705. Travail lourd, vernis jaune :
Joannes Rota fecit
Cremonæ anno 1705.
Rovetta. — Bergame, 1840-1870.
Rub (Ang. de). — Viterbe, 1763. Lutherie gracieuse :
Ang. de Rub. ob animi delectationem
Fecit Viterbi 1763.
Ruggieri (Gio.-Battista). — Crémone, 1666. Élève de Nicolo Amati, ainsi que J. B. Rogeri de Brescia, avec lequel on le confond souvent, bien qu’ils n’aient rien de commun[2].