Lott (John-Frederick). — Londres, xixe siècle. Second fils de John-Frederick. Mort en 1871, Charles Reade, l’a rendu célèbre en le choisissant pour le héros d’un de ses romans : Jack of all trades, a matter-of-fact Romance[1].
Macintosh. — Dublin, xixe siècle. Successeur de Perry et Wilkinson. Mort vers 1840.
Marshall (John). — Londres, 1750.
Martin. — Londres, 1790.
Maucotel. — Londres, xixe siècle. Très bon luthier, originaire de Mirecourt. Il était le frère de Maucotel de Paris. C’est chez lui que Georges Chanot travailla de 1851 à 1858.
Meares (Richard). — Londres, 1677. Dont une viole figura à l’exposition du Kensington Museum, à Londres, en 1872 :
Richard Meares,
Without Bishopsgate
near to sir Paul Pinder’s
London. Fecit 1677.
Merlin (Joseph). — Londres, vers 1780. Style Stainer.
Mier. — Londres, vers 1780.
Morrison (John). — Londres, 1780-1820.
Naylor (Isaac). — Headingly, 1778-1792.
Norborn (John). — Londres, vers 1723.
Norman (Barak). — Londres, 1688-1740. L’un des meilleurs luthiers anglais de son temps. On le dit élève de Thomas Urquhart. En 1877, au Kensington Museum, à Londres, figuraient trois basses de violes de ce maître. Dans l’une d’elles, transformée en violoncelle, se trouvait cette étiquette :
Barak Norman at the
Bass-Viol in
Saint-Paul’s alley
London, fecit 1690.
Le plus souvent, il inscrivait son nom sur ses instruments,
- ↑ Charles Reade, Jean à tout faire, histoire véridique.