Page:Grillet - Les ancêtres du violon et du violoncelle, 1901,T2.djvu/299

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Il employa aussi cette étiquette imprimée :

En 1820, on le retrouve rue de Seine, n° 71 :

Un de ses violons est conservé au musée du Conservatoire de musique, à Paris[1].

Aldric fut un des premiers clients de Luigi Tarisio, auquel il acheta un certain nombre d’instruments italiens.

Alibert (Jean-Pierre). — Né à Montauban, en 1820. Inventeur d’un système de chevilles pour les instruments à archet.

Allard (François). — Paris, 1776-1789. D’abord place Maubert, puis rue du Petit-Pont, sans doute le fils de la veuve Allard, qui était déjà à la première adresse en 1775[2].

Ambroise. — Paris, sans date. Probablement au xviiie siècle :

Amelot. — Lorient, 1820.

  1. N° 27. Catal., 1884.
  2. Voyez Constant Pierre, ouvrage cité.