Salle. — Paris, 1825-1850 environ. On le cite comme un réparateur habile.
Salomon. — Reims, 1755 :
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/6/6f/%C3%89tiquette_Salomon_%E2%80%94_Reims_%E2%80%94_1755_-_T2p374.png/280px-%C3%89tiquette_Salomon_%E2%80%94_Reims_%E2%80%94_1755_-_T2p374.png)
Vidal dit avoir vu une étiquette de ce luthier, portant la date de 1747.
Salomon (Jean-Baptiste Deshayes). — Paris, 1740-1771 environ. Il habita d’abord place de l’École :
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/a/af/%C3%89tiquette_Salomon_%E2%80%94_Jean-Baptiste_Deshayes_%E2%80%94_1746_-_T2p374.png/380px-%C3%89tiquette_Salomon_%E2%80%94_Jean-Baptiste_Deshayes_%E2%80%94_1746_-_T2p374.png)
Juré comptable en 1760, il était rue de l’Arbre-Sec en 1769, toujours avec l’enseigne : À Sainte-Cécile.
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/f/f3/%C3%89tiquette_Salomon_%E2%80%94_Jean-Baptiste_Deshayes_%E2%80%94_sans_date_-_T2p374.png/300px-%C3%89tiquette_Salomon_%E2%80%94_Jean-Baptiste_Deshayes_%E2%80%94_sans_date_-_T2p374.png)
Lutherie, style Guersan, mais un peu lourde. Le musée du Conservatoire, à Paris, possède une viole d’amour de cet auteur[1]. Après sa mort, survenue vers 1771, sa veuve tint boutique au carrefour de l’École, 1775-1783, puis quai de la Mégisserie, 1788-1789.
C’est sans doute de ce luthier dont parle Mme de Genlis dans sa Nouvelle méthode de harpe, 1805, et qui passe pour avoir été le premier à faire dorer les harpes.
- ↑ N° 156. Catal., 1884.