et travailla chez Lupot et chez Gand père, à Paris, avant d’aller s’établir à Lyon, en 1829.
Hippolyte (Saint-Nicolas-du-Port, Meurthe, 14 décembre 1808 † Sommerviller, 3 décembre 1879) fit aussi son apprentissage chez Blaise, à Mirecourt. Il vint ensuite chez J.-P. Vuillaume, à Paris, et alla rejoindre son frère, à Lyon en 1831 :
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/4/49/%C3%89tiquette_Pierre_et_Hippolyte_Silvestre_%E2%80%94_1838_-_T2p377.png/380px-%C3%89tiquette_Pierre_et_Hippolyte_Silvestre_%E2%80%94_1838_-_T2p377.png)
En 1848, Hippolyte se retira, et Pierre resta seul :
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/f/fe/%C3%89tiquette_Pierre_Silvestre_%E2%80%94_1848_-_T2p377.png/250px-%C3%89tiquette_Pierre_Silvestre_%E2%80%94_1848_-_T2p377.png)
Ce sont les instruments de celui-ci qui sont les plus recherchés, tant à cause de leur belle facture que pour leur excellente sonorité. Il mourut en 1859. Hippolyte, son frère, revint alors à Lyon et reprit la maison qu’il dirigea jusqu’en 1863.
Silvestre (Hippolyte-Chrétien, dit). — Paris. Luthier contemporain. Né à Sommerviller (Meurthe), le 1er avril 1845. Fils d’une sœur de Pierre et Hippolyte Silvestre. Neveu des précédents.
Après avoir fait son apprentissage à Mirecourt, il alla travailler chez son oncle Hippolyte, à Lyon, et lui succéda en 1865. Artiste consciencieux, il conserva les bonnes traditions de ses prédécesseurs et ne tarda pas à acquérir une belle réputation :
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/7/73/%C3%89tiquette_Hippolyte-Chr%C3%A9tien_Silvestre_%E2%80%94_1872_-_T2p377.png/300px-%C3%89tiquette_Hippolyte-Chr%C3%A9tien_Silvestre_%E2%80%94_1872_-_T2p377.png)