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que je me décide, puisque le prince a la bonté de me permettre de choisir.
On eut beau lui faire tous les raisonnements du monde, rien n’ébranla son opinion ; comme le prince avait donné sa parole, et qu’il n’était pas homme à y manquer, on se vit donc forcé de rendre la liberté au condamné, et d’attendre que la vieillesse se chargeât de mettre à exécution l’arrêt porté contre lui.
LE CHOIX D’UNE FEMME.
Un jeune paysan désirait se marier. Il connaissait trois sœurs