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Page:Guérin - Journal, lettres et poèmes, 1864, 6e éd.djvu/170

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verser les grandes campagnes, à monter d’horizon en horizon, jouissant de l’espace et gagnant plusieurs fois le jour ces impressions qui s’élèvent de tous les points des étendues de pays nouvelles et s’abattent par volées sur le voyageur. Le courant des voyages est bien doux… Oh ! qui m’exposera sur ce Nil ?…


FIN DU JOURNAL.