Page:Guérin - Le Cœur solitaire, 1898.djvu/148

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

XVII. — A FRANCIS JAMMES 53

LES MELANCOLIES PASSIONNÉES

XVIII. — Le ciel pâlit, la terre humide et reposée 59

XIX. — Le ciel profond reflète en étoiles nos larmes 60

XX. — Je te vois anxieuse et belle de pâleur 61

XXI. — Souvent, le front posé sur tes genoux, je pleure 62

XXII. — Encore un peu ta bouche en pleurs, encore un peu 63

XXIII. — Ma pauvre sœur, ma pauvre enfant, sois forte et calme 64

XXIV. — Je t’apporte, buisson de roses funéraires 65

XXV. — Quel est ce lied qui fait son nid dans mon silence 67

XXVI. — Que la nuit m’enveloppe et dorlote ma peine 69

XXVII. — Parfois, sur les confins du sommeil qui s’achève 71

XXVIII. — Qui de vous n’a connu les soirs où l’on écoute 74

XXIX. — Ne mêle pas l’esprit aux choses de la chair 76

ORPHÉE ET OPHÉLIE

XXX. — Avec ses espaliers de luxure et de fastes 81

XXXI. — Les rossignols chantaient sur le tombeau d’Orphée 82

XXXII. — Comme un roseau plaintif au bord de la rivière 85

ROSÉES AUX POINTES DES HERBES

XXXIII. — Sois pure comme la rosée 89

XXXIV. — Je t’aime, parce que tu dores 91

XXXV. — Je t’aime, parce que tu dors 93

XXXVI. — Heures de pluie, heures de peine 94

XXXVII. — Il a plu. Soir de juin. Ecoute 96

XXXVIII. — La corde sourde vibre encore 97

XXXIX. — Dans les soirs d’ombre où mon cœur saigne 100