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rosa mystica
Parfois je m’imagine, en l’église rêvant,
Que les Esprits des Chrétiens morts, (qu’un léger vent
Matinal — comme un vol de sansonnets — apporte,)
Dispersés dans la nef, chacun de son côté,
Perchent sur l’orgue, ou sur l’autel, ou sur la porte,
Pour chanter à mes yeux leurs hymnes de clarté !
- Avril 1884.
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/9/96/Guaita_-_Rosa_mystica%2C_1885_%28page_280_crop%29.png/100px-Guaita_-_Rosa_mystica%2C_1885_%28page_280_crop%29.png)