Page:Guerne - Les Flûtes alternées, 1900.djvu/38

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

 
L’horizon partout où l’on aime
Est clément, radieux, vermeil.
L’illusion fait le poème
Et le sourire, le soleil.

La Thrace était sauvage et sombre ;
Mais lorsque, sous le ciel noirci,
Eurydice eut passé dans l’ombre,
La Thrace fut divine aussi.