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Je vais commencer tout d’abord
Avec peu d’éloquence,
Car l’une d’entre elles est malade,
Mais malgré sa souffrance
Elle a toujours un air content,
C’est l’aimable Eugénie ;
Ses deux yeux sont si brillants,
C’est une Virginie.
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Mam’zelle Marie est une rose,
Une fleur(e) chérie,
Elle a des yeux
Qui sont dignes d’envie :
Particulièrement lorsqu’elle est habillée,
Coiffée en artisane,
C’est un plaisir de la voir,
On la prend pour Diane.
4
Mam’zelle Françoise a une prestance
Un’ tournure agréable.
Elle ressemble (à une fée ?)
(C’est) une fille estimable.
Un cœur doux, un air content
Mais un peu capricieuse,
Je vois dans ses yeux
Qu’elle est très amoureuse.
