Page:Guillerm, Recueil de chants populaires bretons du pays de Cornouaille, 1905.djvu/46

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Notes. — Cette chanson est interminable. Tous les métiers y passent. Nous regrettons de ne posséder que 14 couplets, ce qui est déjà assez honnête. Il nous semble que c’est une des chansons qui se développent un peu comme les champignons. Ainsi, lorsque cette pièce nous fut chantée, il y avait devant nous une douzaine d’auditeurs, qui tous connaissaient la musique de la chanson ; or quelques-uns se mirent véritablement à composer séance tenante. Nous ne pûmes tout prendre. Le 6e couplet a été ainsi composé, nous l’avons transcrit parce que le chanteur ne se rappelait plus la véritable version.

C’était un phénomène très curieux de franche gaîté.