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Page:Guillerm, Recueil de chants populaires bretons du pays de Cornouaille, 1905.djvu/85

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8
Et je lui demandai :
O ta…
« Pourquoi chantes«tu ? »
9
« Je chante mon honneur,
O ta…
Que j’ai gardé ».
10
« Reviens encore un peu dans le bois,
O ta…
Je te donnerai cent écus. »
11
« Ni pour cent écus, ni deux, ni trois,
O ta…
Je ne retournerai au bois. »
12
Quand.une bécasse est prise,
O ta…
On ne la laisse pas courir.

certaines variantes mélodiques intéressantes, qu’il serait trop long de noter ici. Disons tout simplement, que lorsque le chanteur se mettait en frais d’interprétation, il lui arrivait de prolonger le la de la 3e mesure à peu prés de cette valeur ci : —