Juſques en la rue Poupée[1].
Adonc ai ma voie adrecée,
En la rue de la Barre[2] vins,
Et en la rue à Poitevins[3],
En la rue de la Serpent[4],
De ce de riens ne me repent ;
En la rue de la Platrière[5],
- ↑ De la rue de la Harpe à la rue Saint-Andri.
Appelée aussi Popée, cette voie subsista sous le même nom jusqu’en 1862, époque où elle disparut pour le prolongement de la rue Saint-Séverin.
- ↑ De la rue Saint-Andri à la rue à Poitevins.
Cette voie publique s’appela quelque temps rue du Chevet-Saint-André, parce qu’elle passait derrière l’église de ce nom. Au seizième siècle, elle a été réunie à la rue Hautefeuille.
- ↑ De la rue Hautefeuille à la rue de la Platrière.
Cette rue, appelée antérieurement Guy-le-Queux, fut scindée en deux au quinzième siècle, et la partie en retour d’équerre sur la rue de la Platrière, devint successivement rue du Pet, rue du Petit-Pet et rue du Gros-Pet.
- ↑ De la rue de la Harpe à la rue Hautefeuille.
Son nom lui vient des sinuosités qu’elle décrivait autrefois. C’est actuellement la rue Serpente.
- ↑ De la rue Hautefeuille à la rue Cauvain.
Cette voie prit plus tard le nom de Haute-Rue,