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Page:Guinault - Blondin, blondine et blondinet (1880).djvu/46

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— Monsieur Renardin, je serais allé chez vous au marché qui vient, à seule fin de payer ce que vous doit mon cousin Mauléon,

— Eh bien ! Lucas, arrangeons cette affaire tout de suite, si vous avez l’argent.

— Certainement que j’ai l’argent ! le cousin Mauléon m’a dit l’autre jour au baptême de son mioche : Mon Lucas…

— Voyons, Monsieur Philécu, ce que nous doit Mauléon. Vous avez la note, lisez cela à Lucas et nous lui donnerons quittance.

Monsieur Philécu ayant commencé, Son compagnon l’interrompit.

— Dis-nous, Lucas, combien t’a donné Mauléon pour terminer cette affaire.

— Dame ! Monsieur, vingt pistoles, en bel et bon argent.