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Page:Guinault - Blondin, blondine et blondinet (1880).djvu/7

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BLONDIN
BLONDINE ET BLONDINET
Séparateur


Monsieur Marcelin était pensif.

Du haut de la chaire, son regard scrutateur s’arrêtait avec persistance sur le jeune Paulus, le plus fort des élèves de troisième, qui semblait travailler avec une ardeur fébrile.

Paulus, cependant, posa sa plume, poussa le soupir final annonçant qu’une tâche est achevée, et relut avec attention.

Le visage du maître d’étude était soucieux.

— Quoi ! disait-il, Paulus, un vrai piocheur, m’attire les reproches de Monsieur le Principal ! Je lui donne,