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Page:Guiraud - Chants hellènes, 1824.djvu/21

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teur suprême de tous les devoirs politiques ou sociaux. Élevons donc une voix ferme et libre en faveur des victimes, et si les Souverains alliés demeurent toujours spectateurs indifférens de cette horrible lutte, ne désirons pas qu’elle finisse, parce qu’il vaut encore mieux que Dieu reçoive des martyrs, que si le bâton faisait sans cesse des renégats ou des esclaves.