Page:Guttinguer - Dernier Amour, 1852.djvu/3

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Les vers que nous avons désiré voir imprimés furent un jour, et par hasard, trouvés épars dans un coin oublié d’une charmante villa qu’on nous dit avoir été habitée autrefois par deux poètes érotiques célèbres, Bertin et Parny, peut-être. Nous ne savons si cette circonstance suffit à faire croire cette poésie œuvre de ces amants chers à tous les cœurs sensibles que nous en laisserons juges. Ces juges, nous les ferons aussi peu nombreux que possible, afin de ne pas exposer ces charmants poètes à la critique du