Page:Guy de Maupassant - Notre Cœur.djvu/140

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Cette nouvelle lui fut désagréable.

— Quel genre de solennité ?

Elle riait, enchantée.

— J’ai obtenu de Massival, au prix des plus grandes flagorneries, qu’il jouât chez moi sa Didon, que personne encore ne connaît. C’est le poème de l’amour antique. Mme  de Bratiane, qui se considérait comme l’unique propriétaire de Massival, est exaspérée. Elle sera là d’ailleurs, car elle chante. Suis-je forte ?

— Vous aurez beaucoup de monde ?