Page:Gwennou - Santez Trifina.djvu/106

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S5 E NEUVIÉWIE SCÈNE-Ara ? /ww et Ifervowwz. t Kervoura ’ Arthur, mon frère aime, Me voila de nouveau en Bretagne revenu ! J’t}V3lS hâte de veus voir, et ma soeur, et le pays ! Vous etes bien, mon père, cela est clair... Mais’ma sœur Trephine. si tendre, si faible, ’i’and1 s que i’ai été en voyage, dites-rnoi je vous prie-Est-elle toujours reste ego yeuse et en heure santé...’ Arthur. Mon épouse, Kervoura, doit, dans trois mois, ’ Etre mère, et me donner un fils, a vous un neveu !. (Kervoura tremble) Cette nouvelle mon frère, est la première, Que je devais vous annoncer des que je vous ai vu... · (Kervoura tremble davantage) Mais qu’y a-t-il... Pourquoi un tel changement En entendant mes paroies, soudain sur votre face ? Etes-veus malade de la tievre, Kervoura ? Kervouru t Excusez, Arthur I Tout cela n’est rien t t La fatigue et l’étonnement.... Arthur’r Je suis devenu feu l-Si gence est ma tète, que je n’y pensais plus Allez-veus ai votre chambre, mon frère, vous etetatiguer l(ervoura. D’abord, je voudrais embrasser Trephine E · O ma sœur aimee, que de fois, quand j’(ÉÈ2l1.S loin Ma pensée ]usqu’a toi, portee par le vent r ” Est allee nuit et jour l, ’ · Arthur . Jeqveus crois, Kervoura, «Et vous suis reconnaissant ! Qzii aime Trephine Est aime de moi de tout mon coetir... Mettez votre main dans la mienns, mon frère et mon ami. W E (Ils se serrant la main) ’ (Au fend du théâtre) Y, Azilis, Azilis ? (Celle-ci arrive)