Page:Gwennou - Santez Trifina.djvu/112

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91 ’ à Arthur Troisième nouvelle I Madame et vous, frère Kervoura Dites-moi franchement votre idée la-dessus I. nxepte les pires malfaiteurs, tous les prisonniers Peuvent des maintenant vivre en leur particulier. Je ne veux pas, par exemple, les voir continuer A mettre le trouble et la honte en Bretagne. Sinon, s’ils ne veulent pas devenir gens senses Pour eux je serai impitoyable, malgré mon regret Tréplnîne, Arthur, mon c-her.époux, vous avez fait cela ? Arthur J’ai fait davantage encore l q Kovvouva ’ ~ llitesalous cela E Arthur i ’ Cette année, les impôts ne seront pas leves, Dans tout le royaume. Cela je l’ai encore gure. Donc, les gentilshommes et les riches Devront être miséricordieux envers le pauvre Et lui laisser sans plainte tous ses droits. Mon doit naître parmi les benedictions !. J’ai désir que pauvres et riches soient ensemble Pour louer le Seigneur, quand naîtra mon his Je veux que la Bretagne soit heureuse, Pour que tous fassent une belle fête a mon fils Voila ce que j’ai fait, Trephine, Ai-je fait assez l dites, Kervoura ? Trèphîne (tressaillant de joie). O mon époux aime, combien grand est votre coeur, Que je suis fière de voir sur le trône, Un roi comme vous, toujours cherchant l’occasion D’accroitre la gloire, l’honneur et le bonheur du pays I D’être Heine dans ce pays heureux En vous aimant davantage, mon Seigneur, 1110 !} Roi Kevvoura (le sourire d’un traître sur son visage) Pour vrai, vous ne pouviez, mon frère, faire davantage Et la Bretagne at mon avis, do1t être heureuse.... Vous n’etes pas un roi, mais un père de choix... Dieu veuille qu’un jour votre enfant vous ressemble ! C C Artiiuv Si nous le pouvons il le sera, n’est-ce pas, Trephine ? Une autre nouvelle fai maintenant a vous dire.