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Flamni

©ui, « boite chienlqui veut ! » Viens-tu, morveux, Pendant une heure avec moi faire une course il Alors nous verrons qui est plus fort que l’autre... (ll essaie de se lever et tombe encore tout de son long), Roll (riant à loouclie pleine)

Tu va tomber encore, si tu ne prends garden. ! U JFI:1111111 (en colère).

’ Tu es Lien tard, Roll, quand tu me vois retombe, A me donner des conseils que je ne demande pas... ’ (D’un ton plaintif)

Tu es boiteux aussi, aussi boiteux que moi... Ce ne t’est pas convenable de te moquer de moin. ? Je suis bon garçon cependant, et si tu me racontes J Quelque beau coup fait par toi, je verrai Si je puis d’octro)’er le pardon !... ([)’un ton à faire rire)

Viens, petit Roll, m’aider a me lever, mon ami, a Car, par la queue du diable, Jamais, si tu me laisses Je ne serai debout avant la fin du jour... (ll essaie de se lever deux ou trois fois, et chaque fois, il retombe sur son sézml).

Roll (sel moquani) ’

Si tu voulais. comme moi, boire modérément, Tu serais, imbecile, plus solide sur tes quilles I Flamnx (en colère)

Comment peux-tu décocher un tel mensonge ? Quand je buvais une bolée, n’en avalais tu pas deux, · Nourriture de la potence l Quel gentil pedaut tu fais Rochois ! Et comme tu, proches convenablement, q Cuve deioncee de la foudre. (

Roll (toujours se moquent) ’

A ’ ’ Cela montre, mon homme,

Que ma tête est bien plantee sur mes epaules C’est une belle chose, mon ainé, de boire dix bouteilles ! Si tu étais gentil garcon tu aurais, bon Flamm, Payé deux de plus l Je vais jusqu’à douze, Tous les jours ou presque, mon garcon, depuis que je suis ici Au service de Kervoura, beau-frère d’Artbur le Grand Mais, ta1sons·—nous à Langue trop longue ne vaut jamais grand choses. !