Page:Gwennou - Santez Trifina.djvu/134

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M3 Mais il ne faudra obéir à Gar—©r’al, Il Comme obéira Roll, sans plainte aucune., Flamnu ©beiras-tu, Roll 2 Roll Oui, puisque je l’ai dit ! Gar-Or-jal Mon ordre sera l’ordre de Kervoura, Et moi Je lui olieis sans rien dire ! Quand il veut faire ceci ou cela, Cela ne regarde nullement, garcons, Gar—©rjal. Faites comme moi tous deux l Paiement vous aUF€Z Pour tout votre travail, selon sa valeur ! Maintenant, sortez tous deux, mais restez a cotë Atnn de repondre aussitôt, a mon premier appel Y··· I (Roll et Flamm s’en vont, bras-à-bras, Flflïïlïïl ütllbüllî 10\1jours sur ses jambes.) TROISIÈME SCÈNE I Ii’ereou2·ct, Gcw-oi7aZ Ker-vom-a Eh bien, Gar-Ojal, mes deux nouveaux domesiiquf-JS Puis-je avoir en eux un peu de confiance ’ ? Ga1*·O1*jal Ces deux gaillards, Seigneur, n’obéiront al-isolt1m€1)ï Donc, soyez sans ëouci ! Pour moi, comme je ne î€l’81 Que selon votre désir, tout, Je crois, Sera fait a votre gre, ainsi que ]usqu’à présent". Iievvoura Je te le rendrai, m’en crois bien, Gar—©r jal ! Mais, tandis que i’y pense, j’ai encore une autre Ch©SG A te dire, puisque tu es mon ami le meilleur. ’ Dans liuit jours, a peu pres, ma chere sœur Tréphlïlê Doit accoucher". Cherche une sage-femme Savante et obeissanteu. Prepare une nourrice Prête a faire en tout selon mon commandement Quand tu les auras trouvées, fais leur un discours, lit envoie les ici entendre ma leçon I A propos de Trepliine, propos de son enfant". Va et reviens vite, i’aura1l1ate de te voir ! I 8