Page:Gwennou - Santez Trifina.djvu/154

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W 133 · Flamm (en colère) ’ Je te l’avais dit, mais ta langue damnee Doit remuer toujours, vantard maudit ! Roll (doux comme un chat) “-Mon ame, cher seigneur, sur ma foi de Rochois, Ce que j’ai dit, je l’ai bien dit ! Donc K faites votre aii’aii-e, donnez-moi la mienne ’, Que j’aille, sur votre parole, m’y prendre avec elle... Iicrvouva (se moquant) Doucement, Roll-aux-Fa1·ces· ! il faut prendre le temps ! lloll J’ai hâte, cher Seigneur, de commencer mon metier, j, Aiin de vous montrer que je ne suis pas un imbeciie, Comme Flamrn au pen-baz, ventru et nuorveux I Un bon Rochois, vous savez, ... Kevvnuva Donne-moi paix, vaurien ! Roll A Moi, vaurien, seigneur ? Je suis Roehois, mon ame, Et jamais les Rochoisn.’ K01·vou1·a Voici mon ordre y i’ ’ Des mon premier mot, sans aucune plainte Et a l’appel de Qar·©rjal tu courras au port Qui te sera indique". » ;- z ~ ~ ». Flamm · "~’ ’ ; t, Ã.·î"3, ·, ,’ La porte sera-t-elleiermee, ,· Seigneur ? Comme je suis homme juste et sincère Dès que tombe la nuit, ·je crois que des voleurs ’ Courent le pays ! c ’ ~ V Vi Roll , Donne—~nous paix, mon amel 4 Et n’est-ce pas lui seigneur, que vous nommiez vaurien ?’ K€l”¥’€)lll’ac(lllr’K y V Paix tous deux ! Je n’ai nul temps a perdre En attendant vos sottes paroles, Flamm et Roll : Donc, mon premier mot, sans plainte Courez au port de mer qui vous sera indique E s