Page:Gwennou - Santez Trifina.djvu/166

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t 12,5 t · Qui vient ici ° ? W (Kervoura regarde et dit 2) Q Tiens 2 La sage-femme E G Ojl’p ^t’, tl f lit »¥ ill’- l’ à SGH Vu ELF UD CO G (*3 lâ SilgQ· GIHIDE Ell’t’lVè ’), ll’ ’.til U6 M QUENZIÈNIE SCÈNE Iferrcourez, la sregœfemme l Q La sage—îemme Jevous salue, Kervoura, Vepouvante au coeur’ ! ’ Kevvou ra Qu’y a-t-il de neuf ? i, La sage-femme — Dieu, mon vrai maître, . ’ Suit que je ne vous ai obei, o prince cruel, Que pour me garder des souiïrances de la terre l r Mais maintenant que je vois combien est grand Et horrible mon crime, et que je ne puis helas r · Faire rien, rien, quege suis impuissante A le laver, je tremble. et Je voudrais mourir ! Votre bonne soeur, Kervoura. reine de Bretagne, A mis au IDOi/1LlB, E)B le jure, le plus bel enfant r Que j’aie vu Jamais, et en venant au monde La créature a lâche un cri ! Un cri strident l ll n’y avait Dans la chambre, en ce momant, près du lit de Trephine Que la nourrice et mot à Par la force de la douleur, , Votre sœur était évanouie, izependant je crains-Qu’elle n’ait, dans son sommeil, entendu li voix de son fils-, -M Kevvoura Si cela est vrai, tu devras mourir Z ’ · ’p Lin sugje-femme V Mourir, Seigneur. mourir ?Ma mort Kervoura Ni a vous, ni à nul autre, ne profitera en rien Je ne suis vous le savez bien, qu’une pauvresse, Une femme de bas rang, rien que sage-i’emme, ; Q Et ma mort jamais ne lavera mon crime ! Mourir, mourir cent to : s, plus encore s’il le faut ’ Pour grgner le pardon des hommes et du lîoi A · Pour que tous connaissent la vérité. v » .. ji),