Page:Gwennou - Santez Trifina.djvu/168

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M7 A’A Que tous connaissent le prince misérable, honte et lié lu de monpays. Et gagner mon Dieu... Quelle douce mort ! ’ Kcrvuura Que ce que tu demandes s’accomplisse. (Gar-©1·jul, venu sans liruit sur le théâtre) · Ga1·—©r ial, mon ami, empoigne cette chienne ’ Va chercher le bourreau, rt qu’elle soit décapitée La Sage-Fcuiixua-Malédiction sur toi, Kervoura, nourriture de l’ent’e1· !, (Gar-Orjal prend le bras de la sage femme et s’en va en la mnltruitant. Un instant après on entend le ln-uit d’un corps roulant dans les coulisses. Kervouru Q sourit et dit :) Bon. Voila le coup fait ! La Sage-feinine A Du moins, ne me donnera plus peine ni angoisse. Les autres ? Attendons (A voix haute, et le poing fernié et levé) Malheur ai mes ennemis !, Je ne leur laisserai pour rien ma peau ll., — QUATRIÉME ACTE —. p PREMIÈRE SCÈNE Ã7€ ? ?’ ?, ’OM}’C, Gm-Owçim Q K@1’\’0[Il’î\ I Peu a peu Gar—©r jal, tombent toutes les barrières, le chemin sapplanit devant mes pas i’ ’ Azilis est tuée, et la tsagefeniine A décapitée, comme tu me le d1s... Ces de-u> ;—lz’i ne pourront plus donner appui à Trépliine Deux témoins de moins, . Jesuis lou de trembler.-Et.lean-Guenille avec son vieux compagnon, A Ou sont-ils actuellement ? Gar-Orjal Qui s lit Personneje pense