Page:Gwennou - Santez Trifina.djvu/170

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149. \. ’ 4 Kervuuva p Les chercheurs de pain ne restent pas, Gar-Orjal, · ’ Vieillir en un même pays ! A. Gar-Orjnl t ’ (Test vrai I-Kevvoura

D’ailleurs, Seraient-ils ici, ils ne connaissent rien ! Et le feraienlœils ? Pour combattre le prince Kervoura Ces deux loqueteux, je pense, sont bien misérables. ’ G&Al’~ol’jRl · A En parler, c’est perdre notre temps I ’ E Kervouva ’ La nourrice maintenant est en Irlande, Avec l’en fant de Trepniueu. Aucune nouvelle Je n’en ai eu... Et LOI ’ ? · Gar-Ovjal [ ’ Moi non plus, Seigneur Kevvoura Il faudra cherelierl Flannn et Roll-aux-Faroes Sont la-bas aussi... Tant qu’ils auront de l’ai-gent Pour s’enivrer tous les jours de vin et de vin de feu. Tout ira bien !... Il serait bon pour nous cependant De veiller à tout, et de savoir au juste-Que faire tous deux et que dire, W Et être unis, n’importe en quelle ocrasion, Sinon, mon pauvre ami, le fardeau sera lourd !.. G§ \l’·ol’§ âll Vous etes trop intelligent, et moi je suis sans souai. Kexvoura ’ Bon ! Voici ta leçon i... Aussitôt ne Le fils de la Reine, helas, mourut, , W On a eu beau essayer de le faire vivre, ., De cela, tout d’al}ord, garde bon souvenir. Mieux te vaudrait mourir que de dire jamais Une chose contraire, nulle parthdevant personne ! (}:1r•-Orjal V Soyez sans crainte, Seigneur ! Toujours et en tout S Gar—©rJal sera fidèle à Kervoura !.. ’,