’ ’iôi, J Kevvouva · Tu-h’y perdras rien, je le jure, ài le faire 1 A Puisque tu sais ta leçen, je veux mei aussi Te dire la mienne... Men beau-frère au pays sera, sans tarder, ai· je entendu, de reteur.... Et bien, le Rei deBreLagne, Arthur Vllenere s Deit ebreire que par Trephine a été tue · p Sen premier enfant, et qu’elle désire en plus, Des qu’elle en verra eiaiiemeat Veeeasien, Le tuer lurmeme, eu le faire tuer.., J ~ q As-tu bien cempris ? G3l’·ol’ÃH] ’ry Je pense, prince Kerveura, Que veu ; veus meque ; de mei ! Veire seeur, la Reine, Exemples des bennes vertus ei si remplie de sagesse., Et Arthur, vetre beau-frère, partent comme un père Aime en Bretage ? Veus plaisantez je pense ? ’’’’ K€l ?Vl)Ul’&\ ’· Je ne plaisante pas du teut l Rappelle-tei, quand je Le le dis De faire, sans murmure, ce que je demande, Sinen, le sert d’Azilis et de la sage-i’emine · ’l’arrivera... ! q, q -Gül’·01’j&l — t 4 ’ ’ ’ Vetre seeur, si benne maîtresse l-Et vetre beau-frère Arthur, si aimesteus deux ! •, Kervouva · A Je n’entends pas, men hemme, rester eeeuter davantage Tes mauvais disceursn. Obeir tu devras Ou demain. peut-être, tu seras treuve inert, Dans c uelr ues beis urel’end...)u’en dis tu l t Gàv-Ovjal Je veus ebeirai 1 ’ W ’ (Un peu de côte, et la têteb ;1iss3J vers la terre.) ’Pauvre Heine ! · ’, ’ K(êI’\’(Dlïl*â ’ · ’ Je veis Trephine venir... Laisse neus l ’ · (le qui sera dit teut ai l’heure entre neus Ne te regarde peint, t’en rappelle bien I, q
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