Page:Gwennou - Santez Trifina.djvu/174

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153 Garuokrjal (en sfen allant) Nïmporte l J’ai fort envie d’entendre cependant. Etj’eHte1idI”€11p jel, e, juI’0 Z i ’ l(11sïenva par un côte ; ’l’réphine-a1 ; riw’e par 1’autre.) ’ ’ DEUXIEME SCENE Trap/zinc, Iïcrvotwa (Tréphtne en arrivant sur la scène sassîed sur une chaise que lui offre son frère) Kcrvoura Mon cœur est joyeux ~ De vous voir si tot guferie, o Dame... Trèphîne Merci, Kervoura l Je suis bien faible encore Et d’unsma, l épouvantable je suis oppressée, helas ! Mon petit enfant, mon fils, His du Roi, Dis-mol, je t’en prie, quand le verra1— je ’ ? J’ai hâte Kervoura, de le serrer olansrmes bras. Envoie-le moi ! Ne me laisse plus longtemps dans la gene Kevvouvn · Ton enfant, Trephine, des sa naissance, Malgré tous noseliorts, helas, est mort Tvéphine Tu mens, oui, tumens Z K€PVOHPâ\ A Je te jure, ma petite sœur Tiaéphîne Et tu fais un feux serment, car un cri J’ai perçu distinctement, pendant l’accouchement ! Dis-m©i, ou est mon filsgmongeiifant ? Kevvour-a’l Sur ·m©’n ?dire, ’son’corpsper la sage femme A été ensei/el1...