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J’ai niene ài bien une difficile missions. L A Entre la France et la Bretagne existe une alliance -Qui sera profitable aux deux pays !. Mais j’ai beau regarder, ici je ne vois personne l J E Je trouve bien pénible que’l’repl1ine ne soit pas venue Me saluer plus totd. Et son frère Kervoura i · Je ne le vois pas non plus... Qu’y a-t-il de nouveau ’ ? A (Gz11-Oijial, un masque sur le visage, arrive et dit,). 4 CINQUIEWIE SCENE
Arllztw et G(Lï°—O7f]’dZ masque Gar-Orjal u ’
Aunom du Createur, prenez garde, mon Roi ! On vous tend des pièges., Prenez bien garde, Car, si vous 5* tombez, vous aurez douleur V Arthur étonne E Q »
Qui es-tu et que veux-tu dire ? J Gar-Orjal ’. V
Qui je suis J ? Que vous importe ? Prenez garde, je vous prie ! Ne pretez par foi trop tot il tous les discours Qui vous seront faits l Souvent les paroles, Sont aussi venimeuses que le dard d’un Monstre, Elles font des plaies que or ni argent ne peuvent Helas guérir ! Quand l’occasion sera propice q Vous me reverrez encore, . Attention ! Au revoir ! (Il s’en Va).
’ J SIXIÈNIE SCÈNE » V ’
E’Arthur seul ’-Par
les paroles de cet homme je suis bien trouble ! Que prétend-il me découvrir ? Je ne sais ! Des choses étonnantes se passent en mon palais, je crois ;. s Que faire “ ? Attendre l Je m’affole, complètement ! un me tend des pièges., Lesquels 2 Je n’en sais rien l J » Du moins, voici mon beau-trere Kervoura l Q, Peut-être pourra-t-il me donner un bon conseil !, · Mais soyons sur nos gardes l ·
(Il s’assoit sur une chaise, pendant que Kervoura arrive par ré fond. de la scène.
