165 * Q, V Arthur · ’ Un frère avoir centre sa sœur semblable haines. Avez-vo-us des témoins pour prouver la vérité · De ce que vous dites ? ’ Iî€l[’VolIl”’ ?\ à Oui Z A ’ · A.[’l]llI. Il”’, désolé, Quelle douleur ! Troline, lemme épouvantable, c’est donc en enter Que tu naquis ? (ll reste un instant songeur) Ecoutez Kervoura, , Laissepmoi maintenant un moment l Ma tête se fend, Et si Dieu ne me préserve, je deviendrai feu. Jyill envie de voir une fois encore mon épousen. Vous, ne quittez pas le palais, je vous prie l(Kerveura, s’en vu par un cote. Ga1°Orjal, izmsqiie ’arlive par l’autre) · SEP’l’lEWIE SCENE · A o Art/am ; Grtr-Oxjiczl (ce dernier masqué) ’ Gav-ox·§ : al Eli bien, Roi de Bretagne, quelle est votre pensée ? Quand Kervoura, votre beau-l’i-ere, [ils du roi d’Irlande, · Commence ai accuser, il ne reste pas longtemps, je crois, A chercher « cinq pieds au mouton l Celui-la est bien doué en bec, Si jamais quelqu’un le iut., N’importe l eeugaillarel-la Quand il jurait que ce qu’il disait était vrai, Faisait un faux serment, la chose est claire Et vous le verrez bien avant peu Si vous daignez suivre les conseils loyaux ’ Que vous donne un Breton votre serviteur fidèle. Artluw Dis-moi ton nom, au moins l. ’ A Ga1x·—O1·jal Dieu à A Sait que je vous aime l)G3LlC2©l1l), ll’l©l] maître et mon Roi Et que je ne cherclie que votre bien et celui de mon pays, Mais il n’est pas bon, que je déveile encore mon nom, Plus tard, Arthur ! Aujourdhui, je vous prie, -
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