Page:Gwennou - Santez Trifina.djvu/192

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171 Notre enfant, cette femme aussitôt le prit, ’ Et depuis, nulle nouvelle Je n’en ai eue ! " Arthur, [ Et votre femme de chambre, Trephine, Celle Qu’©n nommait Azilis ? p Tréphîne — Deux ou trois jours Avant mon accouchement elle me quitta". « Pourquoi ? Je ne sais ? Un amour vrai Je portais pour elle au fond de mon coeur... Elle aussi, a voir, m’aimait... Mais pourquoi Toutes ces demandes ? Arthur quelque chose W Trouhlent votre esprit... Dites le moi, je vous prie I Pourquoi, cher époux, vous vois-je si gêne ?’ E Avt, l1ux* Oui, je suis gene, je lejure, bien gene, Tréphine ! ’ Vous ne me oachez rien au moins ? Vos paroles sont-elles toutes vraies ° ? A Txiéphîne ’ Aussi vraies que Dieu Createur du monde règne sur nous tous, mon Roi Arthur — C’est assez, Trephine ! Laissez-moi un moment l-ïeriechir, et auzsi me reposer un peu... Vous etes sans force encore, et bien faible je le vois, Allez à votre chambre, mon épouse, et me laissez ici ! (ll prend la main de Tréphinc, et après l’avoir embrassée, il la conduit jusqu’à la porte. Pendant ce temps, Gar-Ojal, masqué, arrive). NEUVIÈIVIE SCENE p A7·t7zm~ et Gar-Orjal, masque’. 1 Ga1~—O1*jal p J’avais promis de venir une fois encore... Me voici ! Vous avez entendu les paroles de votreepouse, mon Roi, Et je pense que votre esprit est bien) désireux · De connaître l’aventure de votre eniant... ’ Quelle mort a-t-il eu, mort en venant au monde p Suivant Trephine, ou par celle-c1 étrangle, Suivant son frère]. la