Page:Gwennou - Santez Trifina.djvu/214

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les Le Juge, appelant Gar-Orjal ? t (Celui-ci masque, arrive au millieu de la scène et incline la tête devant Arthur et Trephine.) TRUISIEIVIE SC·ENE Tous ceunr de la scène, plus Gar-60·7’uI Le Grand Juge Il vous faut oheir et la loi Et retirer, mon ami, ce masque de sur votre visage. (Gar-Orjal jette son masque à terre) Vous avez peut-être entendu Kervoura Accuser devant nous Trepliine. De quatre crimes épouvantables, et vous etes appele comme témoin Pour parler de ces accusations., Parlez donc sans crainte, et, au nom de Dieu, Ne dites rien que la vérité 1 Gnu-Orjal Seigneurs, Kervoura, helas est frappe D’une maladie que partout l’on nomme La hevre des honneurs l » Un tel malade En vient rapidement a être criminel » Ecoutez bien l Mon maître, fils du roi dlrlanue, Depuis plusieurs années, que pousse par jalousie N’a fait un pas, . Fils et frère de Rois ll voulait gagner aussi une couronne. Mais comment inciter a bien ce désir périlleux Un jour, il entendit qu’Abacarus Roi du pays Saxon était pris de la lepre Et que nul remède ne pouvait le guerir. Il avait jure, a celui qui le guérirait De donner sa fille, son trône et sa couronne I Et voila Kervoura de chercher par quel moyen Il pourrait parvenir âtguerir ce Roi. En une chaumière la-bas, à Koat-an-Noz, Au temps dont je parle, vivait une vieille femme Partout renommee comme sorcière Et sans pareille dans le monde pour la science. Sur le conseil de Kervoura j’allai la voir un jour ÃI<]I la sorcière vînt avec moi jusqu’à lui., Que dirent-ils tous deux Je ne sais ! tie que je sais, c’est qua partir de ce jour ’ 1 :3