Page:Gwennou - Santez Trifina.djvu/232

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211 Trephine ouvre larges les portes de ton cœur ! Et daigne ton pauvre frère accorder le pardon ! (Test grâce a moi, ma soeur, que douze ans tu fus martyre, Pardon ma soeur, pardon Z ! ’ Tirèplxine Que Dieu te fortiiie ! Et de sur toi, mon rime, qu’il éloigne tout malheur ! (Elle se prend pleurer) Kevvoura Merci ma sœur I, . (A Arthur et à Trémeur) p, Arthur et vous Tremeur, Pardonnez-moi aussi ! Arthur, lentement A Je ne ine rappelle plus, mon frère, Il Detout le mal que vous avez, depuis bien des années, Fait a moi, a nion fils et à la Reine, . Je vous pardonne Kervoura, et que Dieu veuille Vous prendre en pitié, comme moianeme ! T 1* é m se u ir V Puisque vous manifestez un si grandre ;çret, prince, de vos crimes Ce n’est pas moi qui voudrait accroître encore vos peines ! Comme ma sainte mère et mon père, roide Bretagne Je vous pardonne ! ’-K€ ! l°(7O !ll“ü ’ p O Dieu, avec joie dans ma poitrine Mon cœur hat y ! Viens quand tu voudras, mort ! Ma benedieuon sur vous trois ! Ma benediction sur votre Pays ! (ll s’ail’aisse sur sa chaise, mort. Tous restent un moment étonnes. Arthur et Trephine, Tremeur étant au milieu d’eux, tomletent ii, genoux devant le cadavre dei lgervoura, et on les entend soupirer". Arthur se lève bientôt et dit ·) Atvthum U, 1 Maintenant que j’ai trouve rnon fils, que j’ai vu Pa r des preuves certaines que mon épouse était innocente Que nous avons tous les trois pardonne à Kervoura, Je veux encore, Bretons, aujourd’hui faire quelque chose ! (A Gar-Orj à et à la Sorcière)