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Le porte-drapeau, entre deux chevaliers 3. Les quatre ecuvers, et leurs ornements d’or, 4. Arthur et Trephine, la main dans la main, descendant du trône.
Lestrois premiers groupes entrent au palais par la porte d’ent1·ee. Arthur et’Trephine, qui suivent, vont y aller aussi lors qu’arrive sur la place, publique, leur barrant le chemin, Kervoura et son écuyer qui le suit.
Le voyant approcher, Arthur et Trephine restent debout, et es chevaliers se rangent des deux côtes de la place TROISIÈME SCÈNE
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Au millleuau lheatreylrlliur ll çlrolle, Trephme a gauche ; ae cole, Kercoura, a gauche, près au bord élu zf/zeâtre ; Lüicuyer ole Kercoura au ioull llu théâtre ; Des deux côtes les chevaliers. r « A Kervoura
A titre d’ami loyal, de beau-frère respectueux Je vous salue, Roi de Bretagne, renomme et puissant p· g S’il plaît a notre Createur d’eXaucer mes prières A Il repandra largement sur vous ses meilleures bénédictions. Il vous donnera honneur, vie longue, telicite, Et bonne chance en tout ce que vous aurez désire Je te salue aussi de tout coeur, ma soeur.. Car je n’aune par-dessus toi rien sur la terre, Quand Je te vois en santé, aimé en Bretagne, · A Et respectée de tous, de près comme de loin. De Joie, de contentement mon cœur se charge". · Tréphine ’
Bien venu sois-tu !’Hate j’avais de te voir, ’ A s Kervoura, mon cher frère ; et Arthur, je le crois, De cœur te répète ce que je te dis l... Arthur’I ’
Vrai dit mon épouse, Kervoura l Dans mon palais Aussi bien qu’en tout heu de mon royaume, Soyez maître comme moi l Partout votre ordre Sera ai mes sujets sacre comme une loi... A Nous ne demandons rien tant que de vous garder longtemps
