Page:Gwennou - Santez Trifina.djvu/70

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— le mxnènvuz scène Kervoura, au millieu du théâtre Gar-Orjal, Roll et Flamm, venant l’un après l’autre par la droite. Gar-Or§ al Voici vos deux domestiques. Kervoura Bien, bien l Envoye-les reniller au vent En attendant que je les appelle, . Et ta vieille sorcière Ou est-elle ? J’ai peine et angoisse Tu le sais bien, Gar—©rjal, et tu attends encore Pour me décharger run peu. Gar-Orjal î Seigneur, je ne pouvais, hélas Faire ma commission plus vite, . Allez, garcons, Faire une petite promenade, et manger un peu de nourriture Bientôt Je vous rappellerai. ’ (Roll et Flamm s’en vont, Ga.r-Orjalv, près de la porte, dit 2) Et vous, femme renommée, Approcliez, Je vous prie, de mon Maitre ll©1l0I’é, . (l, a, ~soreière approche doucement. par un côté, Gar-Orjal sort par l’a, utre) UNZIEME SCÈNE Kervoura et la soreière, seuls tous deux ’t Kervoura Je vous salue, vieille mère, avec le plus grand respect I En vous, depuis longtemps, est tout mon espoirs. Je voudrais savoir par votre science secrète (le qui arrivera, et ce qui est passé Depuis quege suis né et que Je vis sur la terre... Et pouvez-v©us me dire ces choses, ma sœur d La sorcière Moi ta soeur, imbécile ? La lune, une étoile Ne furent Jamais, je pense, parents d’une liinace,