Page:Gwennou - Santez Trifina.djvu/98

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(· A 77 W Et à tous ce qui sont a mes lois soumis I I)’abord, les gens de ma Cour doivent connaître Sans plus long retard un tel t’ait... (ll va. au fond du théâtre et crie 2) Hola, mon heraut ! (Le lièraut vient) Qunrruewis sosma Ar//zzw, Ir Ilérmtt. Axïthur Cherchez des trompettes Et ordonnez aux gens de ma Cour, aux chevaliers A tous les princes, ducs et gentilshommes, barons, A la garde, aux archers et aux dames Aux gens d’église comme aux magistrats Aux gens de guerre comme aux évêques De se réunir ici entendre une nouvelle Utile à la Bretagne, qui fera à leurs coeurs ( Battre de)oie... Dans une heure, Je veux les voir réunis tous en cette salle 1 Allez vite, mon ami Le 11é1·au’t ’ Seigneur, votre ordre Comme vous le dites sera accompli exactement, (Arthur s’en va) CINQUIENIE’SCENE Un Ilèrrzult, (seul d’abord), Quel bon maître I Avec raison il est surnommé le Grand ! De rois comme lui on n’en trouve pas beaucoup t La Reine aussi, douce et bienfaisante Toujours faisant le bien, toujours charitable Tous ne doivent-ils pas Vaimer de cœur ? Pour moi, je le jure, et mon serment est sincère A Arthur, et Tréphine je suis corps et ame, - ’ Et pour eux sans plainte Je donnerai ma vie ! T (ll va au fond du théâtre et c1·ie) V Trompettes compétents, accourez vite ici ’ Et mettez en votre charge votre plus grand soin Afin d’appeler en cette salle tous ceux qui, dans le palais Ont une charge quelconque, rang à la Cour ! ·. (Tandis qu’il parle ainsi, les trompettes arrivent),