comme de juste, mérite d’être pendu par un pied dans l’atelier d’un foulon.
Femmes, votre sacrifice est bien accueilli et d’un heureux présage. Personne ne s’est jamais rendu Péan plus propice. Péan, Péan, pour cette heureuse offrande, sois favorable à ces femmes et aux parents qu’elles peuvent avoir, proches et époux[1]. Péan, Péan, qu’il en soit ainsi !
Ainsi soit-il, dieu puissant ! Puissions-nous revenir en bonne santé, t’apporter de plus belles offrandes, avec maris et enfants !
C’est bien, Kokkalé. Aie soin de découper et de donner au néocore cette cuisse de l’oiseau ; dépose pieusement la galette dans la grotte du serpent[2] et trempe dans l’huile le gâteau sacré : le reste, nous le mangerons dans la salle commune. N’oublions pas non plus le pain de santé : je veux en emporter moi-même : donne. . . . . . . . . . . . . . . .