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Page:Hannon - Les treize sonnets du doigt dedans - 1882.djvu/16

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Ses tétins étaient d’ambre effilés de carmin
Et tenaient tout entiers dans le creux de ma main.
Elle entr’ouvrit le centre unique où tout converge…

Son poil roux brasillait de flambes me dardant…
— Moïse, c’est à vous, dans ce buisson ardent,
Que je songeais, frappant le doux roc de ma verge !