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Page:Hannon - Les treize sonnets du doigt dedans - 1882.djvu/24

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Quand tes bras tout-puissants s’ouvrent pour me presser
Sur ta gorge qui monte, éblouissante houle,
Où ma raison se noie, où ma tête se roule,

Quand ton genou me brise en l’énervant baiser,
Où me fait haleter ta caresse suprême,
Tout est oubli pour moi : Dieu, le Diable — et Toi-même.