Aller au contenu

Page:Hannon - Les treize sonnets du doigt dedans - 1882.djvu/28

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
28


Calice aux vins puissants et magiques dont nous
Ne devons approcher qu’en extase, à genoux,
Sans en faire rougir les roseurs d’aubépine.

Car la langue, elle seule, y doit servir d’amant,
Avec le doigt, sans ongle — et mouillé prudemment
Le cul n’est-il pas là pour y fourrer sa pine ?